Waaa, trop forte, flo! ce bloc est superbe sur la première photo, casi aussi monolythique que dans le célèbre film...mais pourquoi l'as tu fendu d'un revers de manchette...tu étais en colère? ; ))
Pour ma part, je trouve dommage que la première photo ne soit pas dans le même sens que les autres. Le suspens n'aurait pas été gâché car comment deviner que le caillou était fendu.
David,je l'avais cette photo...mais mon choix,après le même questionnement,s'est porté sur celle-ci non pas pour la fente mais pour l'ensemble...j'aime,comme dit sirène,le côté solide,plein,centré ,carré,lourd,rassurant et apparemment sans faille qui émane de ce bloc,dans un contexte de matière similaire, dans cette photo là...et le fait de ne pas voir la mer permettait de la découvrir au fur et à mesure de l'ouverture...suggérant la part d'imaginaire,d'émotionnel contenue dans toute relation...
Bizarre ce "et" distinctif dans le dernier vers, qui associé à la ligne sautée, pourrait laisser entendre qu'il y a d'un côté les perceptions, les commentaires... et de l'autre la réalité. La réalité, "ce qui est", n'est elle pas précisément la somme de ces inter-actions... existerait-elle sans elles? Ceci étant, je ne suis pas sûr que tel est ton propos...il est vrai que j'ai une tendance mono-maniaque qui m'amène souvent à tout mettre en résonance avec mes préoccupations du moment... n'empêche...
Avec toi, les autres...c'est le paradis... Trouver dans la carapace de l'autre la faille qui permettra de faire jaillir sa lumière.... Mais il est vrai aussi que la lumière ne se voit que si on a envie de la regarder... Très fort ton article, et l'idée des photos et le texte...Merci Flo
C'est amusant, ton texte m'a rappelé quelque chose que j'avais écrit en 2007 :
RépondreSupprimer"Qui est "l'autre" ?
Celui que l'on espère ?
Celle que l'on attend ?
Ce que l'on imagine ?
L'autre est tout autre
..."
J'aime vraiment beaucoup ton gros caillou,
qui semble si solide,
mais comporte une faille...
jusqu'à être en deux morceaux.
Comme les deux protagonistes d'un couple, parfois éloignés, parfois proches...
une histoire de bonne distance à trouver ?
...effectivement,c'est le même!
RépondreSupprimermais cela ne m'étonne pas...nous jouons côte à côte avec le même sable... :-)
Waaa, trop forte, flo!
RépondreSupprimerce bloc est superbe sur la première photo, casi aussi monolythique que dans le célèbre film...mais pourquoi l'as tu fendu d'un revers de manchette...tu étais en colère?
; ))
en fait j'ai procédé dans l'autre sens...je l'ai trouvé fendu! ;-)
RépondreSupprimerPour ma part, je trouve dommage que la première photo ne soit pas dans le même sens que les autres. Le suspens n'aurait pas été gâché car comment deviner que le caillou était fendu.
RépondreSupprimerDavid
David,je l'avais cette photo...mais mon choix,après le même questionnement,s'est porté sur celle-ci non pas pour la fente mais pour l'ensemble...j'aime,comme dit sirène,le côté solide,plein,centré ,carré,lourd,rassurant et apparemment sans faille qui émane de ce bloc,dans un contexte de matière similaire, dans cette photo là...et le fait de ne pas voir la mer permettait de la découvrir au fur et à mesure de l'ouverture...suggérant la part d'imaginaire,d'émotionnel contenue dans toute relation...
RépondreSupprimerLe choix de l'artiste est toujours le meilleur.
RépondreSupprimerDavid
Ah, je comprends mieux la fée flo,
RépondreSupprimertu es une recolleuse de morceaux,
la belle vocation!
Parabole de pierre? je sais pas ce que j'aime le plus des images ou de la force sobre des mots.
RépondreSupprimerLena,l'important c'est que l'une ou l'autre te touche...bienvenue
RépondreSupprimer...ou,
RépondreSupprimerce qui sépare
une espérance
de
la réalité.
Roger,
Respect...pour tes créations photographiques.
Bizarre ce "et" distinctif dans le dernier vers, qui associé à la ligne sautée, pourrait laisser entendre qu'il y a d'un côté les perceptions, les commentaires... et de l'autre la réalité.
RépondreSupprimerLa réalité, "ce qui est", n'est elle pas précisément la somme de ces inter-actions... existerait-elle sans elles?
Ceci étant, je ne suis pas sûr que tel est ton propos...il est vrai que j'ai une tendance mono-maniaque qui m'amène souvent à tout mettre en résonance avec mes préoccupations du moment... n'empêche...
"ou" comme poursuit Roger serait plus en état d'opposition que "et" qui est une suite...aussi mouvante que chaque partie qui la compose...
RépondreSupprimerN'empêche...
RépondreSupprimerRoger semble l'avoir compris comme moi ;-)
"e(s)t ce qui est" ?
Avec toi, les autres...c'est le paradis...
RépondreSupprimerTrouver dans la carapace de l'autre la faille qui permettra de faire jaillir sa lumière....
Mais il est vrai aussi que la lumière ne se voit que si on a envie de la regarder...
Très fort ton article, et l'idée des photos et le texte...Merci Flo