Chaque fois que j'emprunte ces chemins qui vont jusqu'à la mer
je pense à ces hommes qui ont battis ces murs,ces escaliers,ces abris de pierres
qui me semblent appartenir au paysage autant que l'arbre, la fleur,la terre
et qui ont laissé sur ce chemin le souvenir imperceptible de leur sueur
bien plus que leur orgueil